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  • Chez Gino

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    Gino Roma (José Garcia) tient une petite pizzeria à Bruxelles mais les temps sont durs. Il y a 10 ans, quand il a ouvert son restaurant, il était le seul et aujourd’hui on en compte plus d’une dizaine aux alentours. C’est pourquoi il avait fait appel à un jeune réalisateur, Daniel T. Stern (Samuel Benchetrit) pour produire une publicité. Le résultat n’est pas vraiment celui qu’il escomptait mais il a désormais une nouvelle mission pour lui ; réaliser un documentaire sur sa vie de gangster ! En vérité, notre pote Gino n’a rien d’un gangster mais c’est ce qu’il veut faire croire à son Oncle Giovanni (Ben Gazzara) mourant qui habite en Italie pour obtenir une part de son héritage.

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    Après J'ai toujours rêvé d'être un gangster, Samuel Benchetrit et sa compagne Anna Mouglalis continuent d’explorer le sujet de façon plus décalée cette fois. Présenté sous la forme d’un faux documentaire, Chez Gino aurait du permettre à José Garcia de briller de mille feux mais à force de trop osciller entre l’aspect amateur et la pure comédie, le réalisateur offre une copie sans saveur. L’idée de départ était séduisante d’autant plus que la participation de Sergi Lopez en rival était alléchante mais le ton juste n’est jamais trouvé. On ira donc plus le voir par sympathie pour son interprète principal que pour le talent de Benchetrit.

     

    Il faut le voir pour : Vous payer une bonne pizza après la séance.

  • Le mac

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    Son nom est Gilbert Chapelle (José Garcia) et jusqu'ici il n'était qu'un banquier un peu gauche mais le jour où il découvre qu'il a un frère jumeau, sa vie change du tout au tout. Ce dernier se nomme Ace (José Garcia, logique non ?) mais le souci c'est qu'il s'est fait assassiner et les flics doivent faire appel à Gilbert pour le remplacer. En effet, Ace jouait les taupes auprès du criminel Tiago Mendès (Gilbert Melki) et devait obtenir de précieuses informations concernant un énorme trafic avec Le Condor. Pour poursuivre  leur opération d'infiltration ils doivent donc transformer Chapelle pour faire croire qu'il s'agit d'Ace et il doit donc devenir un mac !

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    Il ne faut évidemment pas être trop exigeant pour apprécier Le mac car bien sur pour incarner ce personnage totalement farfelu, José Garcia en fait des tonnes. Pas aidé non plus par des seconds rôles (Sami & Marco) dont les traits sont beaucoup trop forcés pour nous arracher quelques sourires. On peut aussi souligner un scénario assez paresseux qui se contente du minimum ce qui rend le film très linéaire. Malgré tous ces défauts, on passe un moment assez agréable et cela prouve une fois encore que José Garcia n'a rien perdu de son potentiel comique.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de confondre les restaurants chinois avec les restaurants japonais.

  • GAL

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    L’Espagne des années 1980 est meurtrie par une série d’attentats revendiqués par L’ETA. Pour faire face à cette menace apparaissent les Groupes Antiterroristes de Libération (GAL) visant à assurer la protection nationale aux méthodes peu orthodoxes. Les expéditions des GAL ont pour objectif de neutraliser tout suspect en relation avec l’ETA mais beaucoup de victimes innocentes sont pris dans ces règlements de compte. Les journalistes Marta Castillo & Manuel Mallo (Natalia Verbeke & José Garcia) travaillent sur ces organisations, une enquête qui s’annonce difficile à plus d’un titre car selon la rumeur elles travailleraient sous l’autorité de l’Etat.

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    Inspiré par des faits réels, GAL est un film très passionnant par son sujet qui nous fait découvrir une période bien sombre de l’histoire espagnole. Dommage cependant que la réalisation ne suive pas avec une intrigue entrecoupée de flash-backs pas forcément bien amenés ce qui apporte pas mal de confusion à l’ensemble. A vouloir donner du rythme à ce thriller, le réalisateur Miguel Courtois égare un peu le spectateur aux dépens de l’intrigue. Ça reste quand même un bon film qui doit beaucoup à l’importance des évènements relatés et à la bonne complémentarité entre les comédiens Natalia Verbeke & José Garcia.

     

    Il faut le voir pour : Cultiver vos connaissances sur l’histoire de l’Espagne.

  • Jet Set

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    Lydia & Jimmy (Estelle Larrivaz & Bruno Solo) sont dans la merde jusqu’au cou ! Endettés de toute part, s’ils ne trouvent pas rapidement de l’argent, ils vont tout perdre. C’est là que Jimmy a une idée de génie ; lancer un nouveau concept de bar mais surtout organiser une soirée d’ouverture exceptionnelle. Pour mener à bien ce projet, il fait appel à son pote d’enfance Mike (Samuel Le Bihan), jeune comédien au chômage pour qu’il puisse s’infiltrer dans le milieu tant convoité du Star System. Ses premiers pas frisent le ridicule mais il sera vite pris en main par Arthus de Poulignac (Lambert Wilson) qui va l’aider à intégrer la Jet Set !

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    Fabien Onteniente est un réalisateur que j’apprécie car généralement, il nous offre des films parfaitement adaptés pour se divertir. Jet Set rassemble donc tous les ingrédients de la comédie populaire et l’on passe un bon moment à rire des mésaventures de ce novice. L’occasion également de revoir des stars aujourd’hui oubliées comme Cachou ou Adel des 2Be3. En dehors de Samuel Le Bihan, ce film repose sur la gouache du personnage de Mellor Da Silva interprété par José Garcia (qui deviendra d’ailleurs le héros de la séquelle moins inspirée People) et la découverte du comédien Guillaume Gallienne.

  • Pars vite et reviens tard

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    Paris, de nos jours. D’étranges phénomènes sont apparus dans la capitale, tout a commencé avec des peintures sur les portes de plusieurs appartements d’une vingtaine d’immeubles. On pensait à une mauvaise plaisanterie mais la brigade criminelle entre alors en jeu avec à sa tête le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg (José Garcia) car l’affaire prend une autre ampleur quand on retrouve un premier cadavre derrière l’une de ses portes. Les premières recherches établissent que la marque retrouvée est un talisman ancien qui daterait du moyen-âge jadis utilisé pour se protéger de l’épidémie de peste. Et si une nouvelle propagation avait lieu aujourd’hui ?

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    Adapté d’un roman de Fred Vargas, Pars vite et reviens tard est un thriller policier dont l’intérêt principal est de s’inspirer de faits historiques et jouant sur la crainte d’une invasion bactériologique. Plutôt convaincant à travers cette réalisation sombre, cela manque quand même de surprises pour réellement nous séduire. Coté casting, José Garcia prouve une fois encore qu’il n’est pas uniquement doué pour les comédies bien que sa participation ne parvienne pas à transcender le film. Déception par contre pour Linh Dam Pham, César du meilleur second rôle féminin en 2005 que l’on ne voit que 5 minutes.

  • Sa majesté Minor

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    Notre histoire se déroule en des temps anciens, bien avant Homère sur une ile quelque part en pleine mer Egée. C’est là qu’un bébé a échoué, il s’appelle Minor (José Garcia) et tétait encore le sein de sa mère disparue mais sa sauvagerie l’a conduit à être élevé parmi les cochons. Depuis, il a adopté leur comportement et n’a jamais su prononcer un mot tant et si bien qu’il fut rejeté par tout le village jusqu’au jour où un miracle se produisit. Laissé pour mort, Minor se réveille doté de la parole et se révèlera même être le tant adoré Roi Colombe ce qui n’est pas sans laisser insensible la belle Clytia (Mélanie Bernier).

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    Incontestablement la sortie ovni du mois, Jean Jacques Annaud divise la critique avec Sa majesté Minor car il est vrai que le film est complètement décalé vis-à-vis des productions françaises ordinaires. Le plaisir de la chair y est évoqué sans tabous, la sexualité traité sous toutes ses formes mais je dois dire que le film n’est pas aussi irrévérencieux qu’on a voulu nous faire croire. A défaut d’être détonnant, le réalisateur étonne à certains moments bien que l’on aurait aimé qu’il pousse plus loin son audace.  On ira quand même le voir pour certains dialogues mais il faut apprécier l’humour un peu cru !

     

    Il faut le voir pour : Assister à la meilleure plaidoirie d’un avocat.

  • La boîte noire

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    Arthur Seligman (José Garcia) a eu un grave accident de la route alors qu’il se dirigeait à Cherbourg. Après un profond coma, il a enfin repris connaissance pour le plus grand soulagement de tous mais garde toutefois quelques séquelles. Notre pote éprouve bien des difficultés pour se souvenir de certaines choses et durant son coma, il semblerait que son inconscient, sa boite noire se soit révélé. C’est le début de longues interrogations qui vont lever le voile sur une partie oubliée de son existence.

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    Pour être sombre, le film est très sombre constituant un parfait reflet de la personnalité d’Arthur. La boite noire partait d’un principe plutôt intéressant avec ces souvenirs enfouis remontant soudain à la surface mais Richard Berry (le réalisateur), en voulant restituer la désorientation de son personnage perd dans le même temps le spectateur. Par contre le jeu de José Garcia est plutôt convaincant bien qu’assez peu mis en valeur enfin un dernier regret sur une conclusion assez grotesque.

     

    Vivez le film Dans la peau du personnage !! 

  • La Boîte noire

    Bonjour,

     

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    medium_01.140.jpgJe m’appelle Arthur Seligman (José Garcia) et je… je ne sais plus trop vraiment où j’en suis actuellement. Je me suis réveillé dans un hôpital après un grave accident de la route du coté de Cherbourg.

     

    Depuis, je nage en pleine confusion et certains bribes de souvenirs remontent à la surface. Mes journées sont hantées par des choses récurrentes comme RP 50, le Texas n’existe pas ou encore le nom de Sylvain Ganem qui m’est parfaitement inconnu.

     

    medium_02.53.jpgL’infirmière qui a pris soin de moi, Isabelle non Alice (Marion Cotillard) me dit que c’est mon inconscient qui s’est révélé, ma boite noire !

     

    En Résumé : On a l’habitude de voir le comédien José Garcia dans les comédies aussi La boite noire vient démontrer que son talent ne se limite pas à ce seul registre. Malheureusement, le film est assez confus de sorte que le spectateur perd vite le fil et décroche complètement de l’histoire. De plus, la fin proposée par le réalisateur Richard Berry est expéditive et discrédite le tout.